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“‘一带一路’债务陷阱论”当休矣

近期,美国威廉玛丽学院发布报告,称中国通过“一带一路”倡议向中低收入国家提供了巨额高息贷款,目前已有42个国家对中国的公共债务敞口超过GDP的10%;且中低收入国家政府对中国的债务被严重低估,总计背负3850亿美元的“隐性债务”。上述“结论”立即被一些西方媒体作为质疑、否定“一带一路”倡议的新“证据”转发报道。

该“报告”自我标榜基于“全面真实的数据”,看似客观严谨,实际上通篇先入为主、以偏概全、以伪乱真,披着“学术”外衣妄图再次炒作“‘一带一路’债务陷阱论”。

“报告”选择性无视“一带一路”倡议给参与方带来的发展红利,刻意突出债务问题。并非所有的债务都是坏事情。发达国家的债务普遍超过了GDP的100%,也未见有人炒作它们的“债务陷阱”问题。发展中国家的债务问题本质上是欠发展问题。发展中国家经济落后,缺乏发展资金,只能对外借债。如果它们借的债能够帮助它们建设基础设施、改善投资环境、创造就业、造福人民,那就是好债务。更何况,这样的债务能够增强经济的内生动力,实现可持续发展,发展中国家挣了钱能还得起。“一带一路”倡议正好契合了发展中国家的这些需求,在此框架下建设的大量铁路、公路、港口、电站等项目受到相关国家的真心欢迎,给当地人民带来满满的收获感、幸福感。据世界银行研究报告,共建“一带一路”将使相关国家760万人摆脱极端贫困、3200万人摆脱中度贫困。

制造“债务陷阱”的不是中国,而是西方发达国家。发展中国家的债务危机始自上世纪七、八十年代。目前“一带一路”沿线发展中国家的大多数债务仍然来自发达国家的商业债权人和多边金融机构。比如西方媒体大肆炒作中国令斯里兰卡落入“债务陷阱”,但实际上中国提供的贷款不到斯里兰卡外债总额的10%。用以偏概全的障眼法来蒙骗世人,企图将自身造成的“债务陷阱”嫁祸于中国,是典型的“贼喊捉贼”。在指责中国贷款“不透明”“不规范”前,发达国家最好把自己的账本先晒出来,让国际社会好好看看它们给发展中国家的援助和贷款用在了什么地方!

迄今没有一个发展中国家因加入“一带一路”倡议而陷入“债务陷阱”。所谓“债务陷阱论”完全是少数西方国家为攻击抹黑中国而捏造的。在遭到不少当事国以事实和数据“打脸”后,自感心虚的“报告”作者们另辟蹊径,编出一套“隐性债务”的说辞。既然是“隐性”,那他们说多少就是多少,反正无从查证。这是他们的惯用伎俩:证据不重要,重要的是给你扣上罪名。

“一带一路”倡议顺应团结合作的历史发展大势,符合各参与国的共同利益与期待,前景广阔,势不可挡。那些在历史上和现实中掌握发展中国家经济命脉,造成发展中国家贫穷落后的国家竟然大发善心,关心起发展中国家的债务问题。它们的目的不是维护发展中国家利益,而是怕中国影响力上升,以后没人再听它们发号施令。我们欢迎诚信竞争,但反对造谣、诋毁、使绊的下三滥做法。“‘一带一路’债务陷阱论”等谬论当休矣。

 

Initiative « la Ceinture et la Route » :

pour en finir avec le mensonge du « piège de la dette »


Récemment, le College of William and Mary aux Etats-Unis a publié un rapport sur l’Initiative « la Ceinture et la Route ». A l’en croire, la Chine aurait alloué énormément de prêts à taux élevés aux pays à revenu faible et intermédiaire dans le cadre de l’Initiative « la Ceinture et la Route », 42 pays auraient des niveaux d’exposition à la dette publique envers la Chine supérieurs à 10% du PIB et l’endettement des gouvernements des pays à revenu faible et intermédiaire envers la Chine aurait été gravement sous-estimé à cause d’une « dette cachée » s’élevant à 385 milliards de dollars américains. Ces « conclusions » ont été immédiatement citées par certains médias occidentaux comme une nouvelle « preuve » pour contester et discréditer l’Initiative « la Ceinture et la Route ».


Ce « rapport » prétend être basé sur des « données complètes et authentiques » et fait semblant d’être objectif et rigoureux. Or, il est en réalité émaillé d’idées préconçues, d’allégations partiales et de pseudo-vérités. Sous le couvert de « recherches académiques », ce « rapport » tente de faire du tapage, une fois de plus, au sujet du prétendu « piège de la dette » de l’Initiative « la Ceinture et la Route ».


Le « rapport » a intentionellement fait abstraction des dividendes de développement que l’Initiative « la Ceinture et la Route » apporte aux pays participants et exagère délibérément le problème de la dette. Toutes les dettes ne sont pas mauvaises. Les dettes publiques des pays développés dépassent généralement 100 % de leur PIB. Mais personne ne parle de leur « piège de la dette ». Dans le fond, le problème de l’endettement des pays en développement est celui du sous-développement. Economiquement arriérés et manquant de fonds de développement, les pays en développement n’ont pas d’autre choix que de contracter des dettes étrangères. Si ces dettes peuvent les aider à construire des infrastructures, à améliorer l’environnement d’investissement, à créer des emplois et à contribuer au bien-être des populations, ce sont de bonnes dettes. D’autant que de telles dettes peuvent renforcer la force motrice endogène de leur économie et favoriser leur développement durable, leur donnant la capacité de rembourser leurs dettes. L’Initiative « la Ceinture et la Route » répond aux besoins des pays en développement. Les nombreux chemins de fer, autoroutes, ports, centrales électriques et autres projets construits dans le cadre de cette initiative ont été chaleureusement accueillis par les pays concernés et donné un grand sentiment de satisfaction et de bonheur aux populations locales. Selon une étude de la Banque mondiale, la coopération dans le cadre de l’Initiative « la Ceinture et la Route » permettra à 7,6 millions de personnes de sortir de l’extrême pauvreté et à 32 millions de personnes de sortir de la pauvreté modérée.


Ce n’est pas la Chine, mais les pays développés occidentaux qui sont à l’origine du « piège de la dette ». Les crises de la dette des pays en développement datent des années 1970 et 1980. Même aujourd’hui, la majorité des dettes des pays en développement participants à l’Initiative « la Ceinture et la Route » est toujours contractée avec les créanciers commerciaux des pays développés et les institutions financières multilatérales. Par exemple, la presse occidentale a fait beaucoup de bruits sur le prétendu « piège de la dette tendue par la Chine au Sri Lanka », alors que les dettes chinoises ne représentent que 10% des dettes extérieures du pays. Jeter de la poudre aux yeux du public en colportant des allégations partiales, mettre sur le dos de la Chine leur propre responsabilité du problème du « piège de la dette », voilà un cas d’école du « voleur qui crie au voleur ». Avant de qualifier les prêts chinois de « non transparents » et d’« irréguliers», les pays développés feraient mieux de rendre public leurs propres « comptes », pour que la communauté internationale puisse voir où sont allées les aides et les prêts qu’ils ont donnés aux pays en développement.


Jusqu’à aujourd’hui, aucun pays en développement participant à l’Initiative « la Ceinture et la Route » n’est tombé dans un « piège de la dette » quelconque. Le prétendu « piège de la dette chinoise » est un bobard inventé par une poignée de personnes occidentales dans le but de dénigrer la Chine. Sachant que leur argument, contredit par les faits et chiffres avancés par les pays concernés, ne tient pas la route, les auteurs du « rapport » susmentionné ont monté une combine pour fabriquer l’allégation de la « dette cachée ». Ainsi, ils peuvent donner à cette dette une envergure comme ils veulent, puisque la dette est « cachée » et que de toute façon, on ne peut pas la vérifier. Voici leur modus operandi : peu importe les preuves, l’importance est de coller des étiquettes.


L’Initiative « la Ceinture et la Route » correspond au courant de l’Histoire de la solidarité et de la coopération et répond aux intérêts et aux aspiration communs des pays participants. Elle a des perspectives prometteuses de développement devant elle. Combien étrange que les pays qui s’appropriaient et contrôlent encore l’artère vitale de l’économie des pays en développement et qui sont responsables de leur retard et pauvreté font aujourd’hui le bon Samaritain, en se souciant des dettes des pays en développement. Ils ne le font pas pour défendre les intérêts des pays en développement, mais par crainte de ne plus pouvoir imposer leur loi à cause de la montée de l’influence chinoise.


La Chine accueille à bras ouverts la concurrence loyale, mais rejette des coups bas que sont les mensonges, la diffamation et les croche-pieds. Fini l’histoire du prétendu « piège de la dette » de l’Initiative « la Ceinture et la Route » !


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