C2 写作练笔 01丨机器人时代
Coucou les ami.e.s,
在备考C2的过程中,我发现网络上能找到的C2范文很有限,且大部分样题都没有例文,于是我决定 —— 自己写!
我的方法简单粗暴,直接限时训练,写完之后找母语者打分、修改,查漏补缺。
这个方法非常有效,我只用了一个星期,就把写作分数从25+提到了35+(满分50),并最终在考试中取得了36/50的成绩。对于考前十天才开始复习作文的我来说,很满意了~
今天分享的是第1篇,
主题是 Robotique 👇🏻
阅读须知
在下文中,我会用两种颜色来标注可重复利用的宝藏词汇/句型(请大家拿出笔记本📔:
词汇:实用动词、经典短语、(平时想不到的)同义替换
句型:逻辑关系句、百搭过渡句(快抄!)
📝
Sujets au choix :
traitez un seul des deux sujets
Sujet 1 : En tant qu’étudiant(e) en sciences technologiques, vous envoyez votre contribution à une revue scientifique francophone qui, en vue d’un numéro spécial, a lancé un appel à ses lecteurs sur le thème « 2050 : avec la robotique, une société de loisirs ? Quelle place pour les robots dans la société du futur ? Révolution ou menace ? »
Sujet 2 : Ancien(ne) employé(e) d’une société qui a subi une vague massive de licenciements pour cause d'automatisation, vous décidez d’envoyer un article à un magazine scientifique francophone qui a posé la question à ses lecteurs : « Les robots domineront-ils un jour les hommes ? Faut-il avoir peur d’eux ? Votre avis nous intéresse. »
sujet 2
Faut-il avoir peur du robotique ?
Les robots ! Encore eux ! Au fur et à mesure de l’évolution, l’industrialisation massive de la société se banalise. Dans bon nombre d’usines modernes, le constat est que les tâches répétitives sont confiées aux robots qui travaillent sans repos, alors que les hommes n’exécutent que des tâches intelligentes. Certes, cela représente un gros progrès de la société, cependant, les plus pessimistes expriment des craintes et se demandent si les robots ne finiront pas par dominer un jour les hommes. Faut-il avoir peur des humanoïdes ?
Certains pensent que le diable est déjà à leur porte et que ces robots constituent une menace pour l’humanité, un fléau à éradiquer au plus tôt.
Ceux qui soutiennent cette pensée fondent leur raisonnement sur deux principaux aspects. Premièrement, les livres et les films de science-fiction tels que « Transformers », où les robots sont dotés de pouvoirs surhumains, font froid dans le dos et il est légitime de s’inquiéter des pouvoirs de ces machines. Ensuite, les cas d’anciens employés ayant été remplacés par des robots créent un antécédent, et la psychose se généralise. On se demande craintivement « à qui le tour ? ».
Le développement technologique devrait cependant être pris avec plus d’optimisme et de positivité.
En effet, bien que les cas d'anciens employés ayant subi des vagues de licenciements pour cause d’automatisation fassent légion - nous en sommes un exemple palpable -, il ne faut pas oublier le fait que l’automatisation représente aussi la tendance de cette ère numérique et technologique. Ces processus de licenciement s’inscrivent donc dans la recherche d’un juste équilibre.
Aux pessimistes, il faut souligner d’abord que les robots sont créés pour aider l'homme au lieu de le remplacer. Le mot « robot » a été inventé par l’auteur tchèque Karel Capek en 1920, qui mettait en scènes des hommes décérébrés travaillent comme les êtres humains dans les usines. Dans ce cas, les robots servent à décharger l’homme des tâches pénibles et répétitives, à lui simplifier la vie. De plus, ils peuvent aussi jouer un rôle important dans d’autre corps de métier, comme par exemple le nouveau robot humanoïde développé par la DARPA qui est capable d’exercer des tâches militaires sur des zones accidentées difficiles d’accès. Cela permettra de diminuer considérablement le taux de mortalité sur les champs de bataille. Le domaine médical n’échappe pas non plus aux prouesses de la robotisation : des bras bioniques développés par le docteur Todd Kuiken au Rehabilitation Institute of Chicago permettent aux patients de mouvoir normalement.
A ceux qui pensent que le robot va supplanter l’homme, il convient de faire remarquer que le robot n’est qu’une machine. Il est créé par l’homme, son pouvoir dépend donc du développement technologique de la société humaine, par conséquent il sera toujours contrôlé par l’homme.
Ne nous voilons pas la face ! Certains métiers tels que chauffeur, ouvrier, réceptionniste, etc. risquent d’être remplacés par les robots, c’est un fait. Mais ce sont juste des métiers qui témoignent d’une certaine routine. Les métiers qui demandent de l’intelligence et l’interaction, tels que médecin, professeur, avocat, ne seront jamais remplacés. Pour survivre à ce jeu, il faudra donc s’armer de plus de connaissances, renforcer ses compétences et explorer de nouveaux domaines ; car certains métiers disparaîtront certes, mais d’autres apparaîtront pour reconstituer l’équilibre. Il n’est donc pas nécessaire de s’alarmer. En effet, une cohabitation harmonieuse avec les robots est bien possible.
Un dernier aspect de la question, qui n’est pas moins négligeable, est que c’est toujours la raison économique qui détermine le pourcentage et le degré d’automatisation. Une automatisation qui n’est pas rentable économiquement sera systématiquement délaissée. C’est le cas de Paul Andreu, l’architecte de l’aéroport de Roissy qui finit par opter pour un portier humain plutôt qu’une porte automatique sur l'un de ses projets. Donc cette « robolution » déjà en marche va bien modifier notre système économique, mais ce changement sera lent et progressif.
En résumé, les robots ne domineront jamais les hommes, ils ne représentent que des produits intelligents de la société moderne. Si on a peur, c’est parce que l’on n’arrive pas à bien distinguer le rôle du robot : à le traiter comme un « esclave », il est possible que le robot finisse par se dresser pour un jour, résister ; si par contre il est vu comme un outil ou une machine, il servira à améliorer le quotidien de l'homme. La seule option qui reste à l'homme est donc de profiter des bienfaits apportés par la robotique : se libérer des tâches inutiles, pour avoir plus de temps pour des réalisations plus profitables de la société. Mais une question demeure : que font nos gouvernants dans ce sens ?
Nombre de mots : 784
我是Ronnie,
一个爱说法语的小学霸,
跟我走,备考路上不孤单❤️